Mon projet

Edit du 4 avril 2024.

En premier lieu, merci à vous tous qui allez me permettre d'envisager le mois qui vient avec plus de sérénité avec la publication de mon livre. Nous avons atteint le seuil fatidique des 70% et à 75% , le livre sera entre vos mains très bientôt ! 

Il reste encore cinq jours pour précommander un exemplaire de mon livre. Alors, partagez-le auprès de vos proches, dans des groupes, sur vos profils pour qu'il ait des chances d'être le plus vu. Avec la somme collectée actuellement 1127 € (- commission kengo 10%) , un seul livre pourra être imprimé et pour le second, il faudrait atteindre les 100%. Dans le cas où ce n'est, hélas, pas atteint, il sera lancé dans les semaines suivantes avec les rentrées que générera le premier tome. 

L’écriture d’un roman me semblait, il y a quelques années, quelque chose d'impossible, étant plus habituée à manier les pinceaux que les mots. En 2017, le succès de mon premier livre "Ma grand-mère de papier" m'a démontré le contraire et j'ai continué. Après plusieurs années d'écriture et de remaniements, je suis parvenue à terminer le premier volume d'une saga familiale et c'est ainsi que j'ai le plaisir de vous présenter mon premier roman, "La petite fille qui dort dans la rivière"   

L'histoire a encore évolué depuis cet automne et, désormais, il compte 720 pages. C'est donc un pavé que j'ai divisé en 2 volets bien distincts. La première partie se déroule à la Combe du Guélin, un charmant village de montagne dans le Givarrais. La seconde partie se passe dans le vieux Paris et simultanément dans le Givarrais mais je ne veux pas vous en dire plus, préférant garder le suspens de l'intrigue intacte...

Le résumé : 

Nous sommes en 1852, dans un village aux confins du Givarrois où superstitions et jalousies rythment le quotidien des gens de la Combe du Guélin. Un jeune curé débarque de sa Bretagne natale, à l'issue de son séminaire, dans le cercle très fermé des Combe-guélinttais et, dès son arrivée, les événements dramatiques se succèdent. Pour son premier jour de sacerdoce, il doit déjà prononcer quatre oraisons funèbres ! Il lui faudra un peu de temps pour réaliser que tous ces accidents ne sont peut-être pas le fruit du hasard... 

Ne cherchez pas où ça se trouve, mis à part quelques grandes villes, les lieux sont imaginés mais si vous avez envie de lire les premières pages, j'ai laissé cinq chapitres sur le site Fyctia dont vous trouverez le lien en bas de page.

En effet, avant de le proposer au public, j'étais décidée à connaître les réactions et avis des gens si bien que, cet automne, j'ai participé au concours littéraire "thriller" sur la plateforme d'édition Fyctia avec cette histoire ! Je n'ai pas fait partie des quatre finalistes mais je suis arrivée 10° sur 350 candidats !  j'ai ainsi pu tester l'impact de mon histoire, laquelle a suscité l'enthousiasme parmi de nombreux lecteurs. Ci-dessous, capture d'écran réalisée dans les derniers jours du concours. Je suis tout en bas, à droite, à la dixième place...   

Utilisation des dons

J'ai besoin de votre soutien afin de pouvoir payer les coûts de réalisation et d'impression de ce roman qui compte pas moins de 720 pages.  J'ai, dans ma bibliothèque, quelques pavés de 600 à 700 pages et je reconnais qu'avoir de tels ouvrages entre les mains peut paraître rédhibitoire pour beaucoup. Après avoir tergiversé tout l'hiver, j'ai décidé de le scinder en deux volumes de 360 pages chacun. Sur Kengo, le projet est validé si on atteint 70% du montant demandé. Si c'est le cas, je n'éditerai que la première partie mais cet événement me permettra de rebondir et l'édition de la seconde partie se fera ultérieurement. Je souhaite, bien entendu que le projet connaisse un succès total mais, après avoir essuyé quelques échecs, je préfère être prudente et envisager plusieurs options.

Que ferais-je de l’argent si je dépasse l’objectif ?

J'aimerais bien que ça arrive car l'issue de cette campagne me permettrait, dans ce cas, de rebondir sur des recueils créés il y a deux ans et qui sont toujours en dormance dans un coin de mon PC, le Covid ayant eu raison de moi durant cette période. Je pourrai ainsi satisfaire certains de mes followers qui m'avaient précommandé ces ouvrages voici deux ans, projet que je n'avais pu finaliser alors, en raison d'une situation économique fragilisée par les événements liés à la pandémie.

J'ai besoin de vous !

Je vis de ce qui sort de mes mains et de ma tête mais, à la suite de la crise du Covid et après avoir attrapé ce fichu virus, j'ai dû arrêter mon activité et fermer mon atelier, faute de rentrées suffisantes d'argent, climat économique en berne. J'essaie de remonter à la surface mais quand on tombe il est difficile de rejoindre la rive par ses propres moyens.  J'ai besoin de votre aide sans quoi ce projet qui me tient tant à cœur ne verra jamais le jour. Votre soutien me permettra également de présenter à nouveau mes différents ouvrages aux maisons de la Presse, librairies et centres culturels de Bretagne !

Qui suis-je ?

Je suis artiste peintre autodidacte. J'ai longtemps été le peintre du métro et de la rue jusqu'à ce que ma petite grand-mère, sortie de mon imagination, vous fasse tourner la tête…

C'était il y a vingt ans. Depuis, il a coulé beaucoup d'eau sous les ponts et je suis revenue à mes premières amours, l'écriture, sans pour autant arrêter de peindre.

J'ai déjà auto édité deux livres : "Ma Grand-mère de papier", conte onirique sur ma petite Bigoudène et "La merveilleuse histoire d'Olifant, un éléphant tout rikiki".

Pour en savoir plus, n'hésitez pas à aller sur ma page Facebook, mon instagram ou mon blog. Quand à ce que j'écris, vous en aurez un aperçu dans quelques vidéos et sur la plateforme Fyctia. A très bientôt, Nicole.

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